Le goût du néant
ça fait fort longtemps que je n'ai pas mis de poésie alors voici de nouveau du Baudelaire :
"Le printemps adorable a perdu son odeur !
Et le temps m'engloutiti minute par minute ,
Comme la neige immense un corps pris de roideur;
Je contemple d'en haut le globe en sa rondeur
Et je n'y cherche plus l'abri d'une cahute.
Avalanche, veux-tu m'emporter dans ta chute ?"
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